"All right. Je sais. L’UMOUR est à l’existence de tout – donc – un symbole de verre bien taillé. L’alcool des horizons perdus."
Le Sanglant Symbole, in Ecrits, p. 350.
"C’était une ombre de vérité qu’amenaient les plus beaux mensonges. Ces rêves m’apprirent que les souvenirs n’existent pratiquement pas. Il n’y a plus jamais pour moi que des horizons perdus."
La victoire à l’ombre des ailes, in Ecrits, p. 56.
"Peu après, je m’installais à l’hôtel Terminus-Vaugirard, par suite d’un concours de circonstances favorables qui voulut qu’une personne me rendît les moyens de vivre. Là, je serai au loin, à l’extrémité de la plus longue rue de Paris… me dit-on, orientée au couchant, jusqu’à la mer où elle se prolongeraient bien en voie sacrée des horizons perdus."
Lancelo et la chimère, in Ecrits, p. 160-161.
Nombreux sont les témoignages de l’obsession de Rodanski pour le film Lost Horizon de Frank Capra et la ville où se déroule l’histoire, Shangri-là : le film Horizon Perdu réalisé par Jean-Paul Lebesson et Bernard Cadoux et le volume du même nom préfacé par ce dernier chez Comp’Act en 1987, les témoignages d'Alain Jouffroy (Stanislas Rodanski, une folie volontaire, p. 10 notamment), de nombreux textes et les carnets qu'il écrira à St Jean de Dieu
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